midi
aux arbres migrateurs
un message d’adieu
trop d’étés nous séparent
sécheresses traversent
larmes miroitent
des vents affolés
attisent nos flammes
brûlons
mort ou vif
et quel monde est-ce
nul pour le savoir
elle retombe déjà
à qui cette poussière
se fiant à la faux du vent
aux griffes de la joie
délirante caresse
à son gré elle fait
défait
brise les ailes
claque au visage
battants de ses mélopées
un message d’adieu
trop d’étés nous séparent
sécheresses traversent
larmes miroitent
des vents affolés
attisent nos flammes
brûlons
mort ou vif
et quel monde est-ce
nul pour le savoir
elle retombe déjà
à qui cette poussière
se fiant à la faux du vent
aux griffes de la joie
délirante caresse
à son gré elle fait
défait
brise les ailes
claque au visage
battants de ses mélopées
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